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1.
Social Compass ; : 1, 2023.
Article in English | Academic Search Complete | ID: covidwho-2315141

ABSTRACT

The turn of the twenty-first century was characterised by ‘spiritual revolution', with claims that interest in New Age spirituality was eclipsing religion and would continue to do so in the future. Since then, scholars of religion have been more focused on religious diversity and the rise of the non-religious. While interest in spirituality, uptake of spiritual practices, and identification as ‘spiritual but not religious' have continued to grow, spirituality is typically not taken as seriously as religion, at least in political spheres or by academia. This article examines the history and contemporary dynamics of spiritual complexity in Australia, drawing on the findings of two Australian Research Council–funded studies ‘The Worldviews of Australia's Generation Z' and ‘Religious Diversity in Australia' and on a recent project ‘(Con)spirituality, Science and COVID-19 in Australia'. It argues that it is certainly time for spirituality to be taken more seriously in this country and globally, given spirituality's concern with personal and planetary wellbeing, and also the potential risks spirituality can pose due to its association with dis/misinformation, neoliberalism, and violence. (English) [ FROM AUTHOR] Le début du 21e siècle a été caractérisé par une « révolution spirituelle », avec des affirmations selon lesquelles l'intérêt pour la spiritualité du New Age éclipserait la religion et que cette tendance se poursuivrait à l'avenir. Depuis lors, les spécialistes des religions se sont davantage intéressés à la diversité religieuse et à la montée en puissance des non-religieux. Bien que l'intérêt pour la spiritualité, l'adoption de pratiques spirituelles et l'identification comme « spirituel mais pas religieux » aient continué à croître, la spiritualité n'est généralement pas prise aussi au sérieux que la religion, du moins dans les sphères politiques ou dans les milieux universitaires. Cet article analyse l'histoire et la dynamique contemporaine de la complexité spirituelle en Australie, en s'appuyant sur les résultats de deux études financées par le Conseil australien de la recherche, une sur les « visions du monde des Australiens de la génération Z » et l'autre sur « la diversité religieuse en Australie », ainsi que sur un projet récent sur « (Con)spiritualité, science et COVID-19 en Australie ». L'article défend l'idée qu'il est certainement temps que la spiritualité soit prise plus au sérieux dans ce pays et dans le monde, étant donné son intérêt pour le bien-être personnel et planétaire, mais aussi les risques potentiels que la spiritualité peut poser en raison de son association avec la désinformation, le néolibéralisme et la violence. (French) [ FROM AUTHOR] Copyright of Social Compass is the property of Sage Publications, Ltd. and its content may not be copied or emailed to multiple sites or posted to a listserv without the copyright holder's express written permission. However, users may print, download, or email articles for individual use. This may be abridged. No warranty is given about the accuracy of the copy. Users should refer to the original published version of the material for the full . (Copyright applies to all s.)

2.
Relations Industrielles ; 77(2), 2022.
Article in English | ProQuest Central | ID: covidwho-2025306

ABSTRACT

We studied 14 universities across Canada and Australia to examine how the COVID-19 crisis, mediated through management strategies and conflict over financial control in higher education, influenced workers’ job security and affective outcomes like stress and happiness. The countries differed in their institutional frameworks, their union density, their embeddedness in neoliberalism and their negotiation patterns. Management strategies also differed between universities. Employee outcomes were influenced by differences in union involvement. Labour cost reductions negotiated with unions could improve financial outcomes, but, even in a crisis, management might not be willing to forego absolute control over finance, and it was not the depth of the crisis that shaped management decisions. Alternate :Cette étude examine comment la pandémie de COVID-19 et les stratégies mises en oeuvre par la gestion universitaire ont influencé la sécurité d'emploi, le stress et le bonheur des travailleurs de l'enseignement supérieur. Les données quantitatives et qualitatives primaires proviennent d'une enquête menée dans quatorze universités en Australie et au Canada, complétée par des recherches secondaires. L'analyse examine les réponses des institutions et des travailleurs à la pandémie, ainsi que les conflits qui en résultent en matière de contrôle financier et ce, tant aux niveaux macro (secteur), méso (université) et micro (individu). Au niveau macro, les réponses des universités ont été façonnées par les politiques publiques de l'État aux niveaux national et infranational. Dans les deux pays l’approche avait une forme nettement " néolibérale ". Toutefois, les universités australiennes ont été davantage exposées à la pression financière en faveur des suppressions d'emplois, et la direction de ces universités a peut-être été plus encline à procéder à des mises à pied que l'ensemble des universités canadiennes. Les différences au niveau du soutien institutionnel au syndicalisme au niveau macro ont influencé la manière dont le personnel universitaire a été affecté aux niveaux méso et micro. La restructuration des universités, dans les deux pays, a eu un impact négatif sur la sécurité d'emploi et les perspectives de carrière, ce qui a entraîné une diminution de la satisfaction professionnelle et une augmentation du stress. Pour de nombreux membres du personnel professionnel, le travail à domicile était nouveau et libérateur, tandis que pour d’autres membres du personnel universitaire, le travail à domicile était une expérience négative. Notre analyse démontre que les expériences du personnel universitaire ont été influencées par d'autres facteurs que les modalités de travail mises en place par les universités pendant la pandémie de COVID-19. Les approches des universités en matière de protection de l'emploi, de restructuration et d'engagement avec le personnel par le biais des syndicats semblent influencer la satisfaction, le stress et le bonheur du personnel. Nos résultats s'inscrivent dans le prolongement de la littérature qui documente la manière dont les processus de néolibéralisation sont régulièrement contestés par le personnel universitaire dans le cadre de diverses actions individuelles et collectives, en particulier en temps de crise. Nous soutenons que la théorisation des luttes pour le contrôle du travail devrait être étendue aux luttes pour le contrôle des finances.

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